La bibliothèque de l’Incendie
Le fou de Notre-Dame a la chance de bénéficier de l’expérience du fou de Proust… Des chroniques, ça ne se trouve pas sous les roues d’une victoria à huit ressorts. Une documentation, des ouvrages sont utiles et entraînent des frais. Pourtant bien décidé à ne pas abuser des encombrements et des dépenses, j’ai pu limiter la place dévolue à l’étude d’À la Recherche du temps perdu.
Pour la cathédrale de Paris et sœurs gothiques, j’ai d’ores et déjà fait l’acquisition d’un meuble dédié à trente-trois compartiments.
Les articles et revues s’entassent déjà.
Étalés, les magazines, ça donne ça.
Mais, par-dessus tout, je craignais de me ruiner en livres suscités par l’Incendie, par Notre-Dame enflammée le 15 avril dernier. J’ai acheté tout ce qui a été publié. Tout !
Est-ce tout ? Ben, oui ! Entre des serre-livres, ce n’est pas plus impressionnant.

Je me demande si je n’ai pas vu un peu grand.
Foi d’incroyant…
Patrice Louis